Conte de la Lune – 2006
Une production du Théâtre des Confettis
Une Ode à l’imagination,
à la liberté, à la poésie.
Après avoir mis en scène les singulière Chronique de la vérité occulte, collage de texte autour de l’œuvre de Pere Calders (1912-1994), Philippe Soldevila, né de parent espagnols, renoue avec l’auteur catalan en s’inspirant de quatre de ses nouvelles pour nous offrir son premier texte de théâtre pour l’enfance : une pièce très personnelle dont le récit s’enracine également dans le passé de sa famille, plus particulièrement celui de son père.
Dans Conte de la Lune, la prose de Calders se noue au récit familial de Soldevila, formant un tissu dramatique d’une grande cohérence. Éloge du voyage sous toutes ses formes, abordant aussi bien les liens familiaux que les idéaux, ce spectacle nous plonge dans un univers de souvenirs qui donne confiance en la vie.
Une Ode à l’imagination,
à la liberté, à la poésie.
Après avoir mis en scène les singulière Chronique de la vérité occulte, collage de texte autour de l’œuvre de Pere Calders (1912-1994), Philippe Soldevila, né de parent espagnols, renoue avec l’auteur catalan en s’inspirant de quatre de ses nouvelles pour nous offrir son premier texte de théâtre pour l’enfance : une pièce très personnelle dont le récit s’enracine également dans le passé de sa famille, plus particulièrement celui de son père.
Dans Conte de la Lune, la prose de Calders se noue au récit familial de Soldevila, formant un tissu dramatique d’une grande cohérence. Éloge du voyage sous toutes ses formes, abordant aussi bien les liens familiaux que les idéaux, ce spectacle nous plonge dans un univers de souvenirs qui donne confiance en la vie.
L’histoire du Conte de la lune
À l’aide d’un journal intime retrouvé dans une vieille valise oubliée, un fils nous invite à partager avec lui un moment important de l’enfance de son père, un immigrant espagnol venu s’établir en Amérique il y a plusieurs années. Nous nous retrouvons ainsi un matin d’été en 1940, dans un petit village d’Espagne, alors que Joan Casesnoves-Durante, âgé de dix ans, se réveille avec un mot en bouche, une fabuleuse invention, un mot totalement absent du dictionnaire, un mot auquel Joan veut absolument attribuer un sens.
Quelques jours plus tard, le père de Joan revient à la maison après une très longue absence provoquée par la guerre civile. Avec l’affectueuse connivence de la mère se développe entre ce père « inventeur de mondes meilleurs » et ce fils « inventeur de mots » une tendre et lumineuse complicité qui donnera au mot nouveau de Joan une valeur éclatante et éternelle.
Conte de la Lune, texte et mise en scène de Philippe Soldevila a été présenté, à ce jour, en français, en espagnol (Cuento de la Luna), et en anglais (Tales of the moon). La production a obtenu le Masque de la « Meilleure production Jeune Public », Prix « ZOF » de la Fédération Culturelle Canadienne Française / Secrétariat des Affaires Intergouvernementales du Canada (SAIC), et nomination pour le Masque « Coup de Cœur des Enfants Terribles ». Le texte est publié en français chez Dramaturges Éditeurs, et en espagnol par ASSITEJ España (Association espagnole de théâtre pour l’enfance et la jeunesse).
L’espoir de construire un monde meilleur
L’espoir de construire
un monde meilleur
Mon père est né à Valencia, en Espagne, en 1929. Il est né à une époque où les inégalités sociales étaient si grandes et si profondément ancrées dans la nuit des temps, que jusque-là, on les avait crues naturelles…
Mon père est né à une époque où les idées avaient enfin réussi à donner aux plus pauvres l’espoir de construire un monde meilleur. La guerre civile espagnole de 1936-1939 aura vite fait de briser ces espoirs, de briser d’innombrables familles, et de bouleverser à tout jamais d’innombrables enfances. Dont celle de mon père.
J’ai écrit Conte de la Lune en hommage à mon père. Qui a perdu le sien trop jeune. J’ai écrit Conte de la Lune pour transmettre la beauté de son héritage à ses dix petits enfants.
Puissiez-vous tous, comme eux, comme nous, en profiter.
Philippe Soldevila
Auteur et metteur en scène
J’ai écrit Conte de la Lune en hommage à mon père. Qui a perdu le sien trop jeune. J’ai écrit Conte de la Lune pour transmettre la beauté de son héritage à ses dix petits enfants.
Puissiez-vous tous, comme eux, comme nous, en profiter.
Philippe Soldevila
Auteur et metteur en scène
«Quand la beauté est trop rare, il faut l’inventer»
Les ingrédients d’un nouveau succès pourraient bien être réunis dans ce sympatique
Conte de la lune (…) Sans contredit l’une des créations jeunes publics les plus réussies en 2006.
«Quand la beauté est trop rare,
il faut l’inventer»
Les ingrédients d’un nouveau succès pourraient bien être réunis
dans ce sympatique Conte de la lune (…)
Sans contredit l’une des créations jeunes publics
les plus réussies en 2006.
Crédits : Christian Essiambre, Agnès Zacharie • Photo : Louise Leblanc
DÉDICACE DE CONTE DE LA LUNE
À mon père,
dont l’enfance a été marquée
par la guerre
au pays des soleils.
… Et à ses dix petits enfants,
nés, grâce à lui,
dans la paix
au pays de la neige.
À mon père,
dont l’enfance a été marquée
par la guerre
au pays des soleils.
… Et à ses dix petits enfants,
nés, grâce à lui,
dans la paix
au pays de la neige.
«Un spectacle remarquable d’intelligence»
S’il est une réussite dont l’équipe de Conte de la Lune peut tirer une fierté sans partage, c’est assurément d’avoir produit un spectacle remarquable d’intelligence, sincère et, par-dessus tout, exempt de paternalisme.
équipe de création
Texte
Philippe Soldevila
Inspiré de nouvelles de Pere Calders
Mise en scène
Philippe Soldevila
Assisté d’Hélène Blanchard
DISTRIBUTION
Christian Essiambre
Réjean Vallée ou Daniel Simard
Agnès Zacharie
Scénographie
Luc Rondeau
Erica Schmitz
Texte
Philippe Soldevila
Inspiré de nouvelles de Pere Calders
Mise en scène
Philippe Soldevila
Assisté d’Hélène Blanchard
DISTRIBUTION
Christian Essiambre
Réjean Vallée ou Daniel Simard
Agnès Zacharie
Scénographie
Luc Rondeau
Erica Schmitz
Costumes et accessoires
Erica Schmitz
Musique originale et environnement sonore
Jean-François Mallet
Éclairages
Christian Fontaine
Régie
Katia Talbot
PRODUCTEUR
Théâtre des Confettis en collaboration
avec le Théâtre Sortie de Secours
Costumes et accessoires
Erica Schmitz
Musique originale et environnement sonore
Jean-François Mallet
Éclairages
Christian Fontaine
Régie
Katia Talbot
PRODUCTEUR
Théâtre des Confettis en collaboration
avec le Théâtre Sortie de Secours
Crédits : Réjean Vallée, Christian Essiambre • Photo : Louise Leblanc
«Véritable hommage à la créativité, à l’imagination et à l’intelligence»
Soldevila fait preuve d’une grande subtilité et de finesse, et la poésie
qu’on retrouve dans le récit enchante les petits et grands.
Crédits : Christian Essiambre, Agnès Zacharie • Photo : Louise Leblanc
Crédits : Christian Essiambre, Agnès Zacharie • Photo : Louise Leblanc
CRITIQUES
UN CONTE TOUCHANT À VOIR SUR LES RELATIONS PÈRE-FILS
Soldevila a su appuyer la magie de son texte avec une mise en scène tout en finesse. Si le public y trouve tant de plaisir, c’est surtout grâce au jeu de Christian Essiambre, qui rend Joan attachant dès les premiers instants.
> Geneviève Turcot, Le Droit, 23 février 2007
JE T’AIME JUSQU’À LA LUNE
Non sans rappeler le magnifique film italien La vie est belle, la pièce ouvre un ciel d’espoir avec une poésie capable de chasser les nuages les plus noirs, donc les douleurs les plus grandes. (…) le texte est une célébration de la beauté. La beauté des mots, de l’amour et de la vie…
> Valérie Lesage, Le Soleil, 16 mars 2006
TOUS À LA LUNE !
Ce Conte de la lune a le grand mérite de redonner ses titres de noblesse à la créativité et la fantaisie.
CRITIQUES
UN CONTE TOUCHANT À VOIR SUR LES RELATIONS PÈRE-FILS
Soldevila a su appuyer la magie de son texte avec une mise en scène tout en finesse. Si le public y trouve tant de plaisir, c’est surtout grâce au jeu de Christian Essiambre, qui rend Joan attachant dès les premiers instants.
> Geneviève Turcot, Le Droit, 23 février 2007
JE T’AIME JUSQU’À LA LUNE
Non sans rappeler le magnifique film italien La vie est belle, la pièce ouvre un ciel d’espoir avec une poésie capable de chasser les nuages les plus noirs, donc les douleurs les plus grandes. (…) le texte est une célébration de la beauté. La beauté des mots, de l’amour et de la vie…
> Valérie Lesage, Le Soleil, 16 mars 2006
TOUS À LA LUNE !
Ce Conte de la lune a le grand mérite de redonner ses titres de noblesse à la créativité et la fantaisie.
Percée espagnole pour le Théâtre des Confettis
Avec le Conte de la lune de Philippe Soldevila
L’équipe de Conte de la lune est montée sur les planches dans deux salles de Madrid et à Alcala de Henares dans le cadre du festival Teatralia. (…) La pièce de Philippe Soldevila est la première à être traduite en trois langues. La version anglaise suivra l’an prochain.