Quand la mer… – 2013
En coproduction avec
le Théâtre de la Vieille 17 et le Théâtre du Nouvel-Ontario
Quand la mer nous abandonne,
il faut choisir entre partir ou rester.
Des drames et des choix cruciaux
dans une pièce touchante.
S’inspirant des images de la lente agonie de la Mer d’Aral au Kazakhstan, Quand la mer… raconte la vie de personnages simples aux allures de héros de légende. Une fable sur la fragilité de la vie, des rêves, des illusions, de la puissance et des biens matériels. Quand la mer… raconte le drame passé et à venir de plusieurs communautés de notre planète, confrontées à la transformation du monde qui les entoure.
Le spectacle a été présenté au printemps 2010 au Théâtre Périscope, à Québec et à La Nouvelle Scène, à Ottawa.
Quand la mer nous abandonne,
il faut choisir entre partir ou rester.
Des drames et des choix cruciaux
dans une pièce touchante.
S’inspirant des images de la lente agonie de la Mer d’Aral au Kazakhstan, Quand la mer… raconte la vie de personnages simples aux allures de héros de légende. Une fable sur la fragilité de la vie, des rêves, des illusions, de la puissance et des biens matériels. Quand la mer… raconte le drame passé et à venir de plusieurs communautés de notre planète, confrontées à la transformation du monde qui les entoure.
Le spectacle a été présenté au printemps 2010 au Théâtre Périscope, à Québec et à La Nouvelle Scène, à Ottawa.
L’histoire de Quand la mer…
Quelque part sur Terre, un petit village de pêcheurs vit depuis toujours selon d’immuables traditions. Alors que tous accueillent la nouvelle année avec l’espoir de voir enfin arriver le «progrès» dans leur communauté, une lente et inexorable transformation s’opère : un fils cadet s’oppose à son père, une épouse refuse de se couper les cheveux comme l’exige la coutume… Même la mer ne tient plus ses promesses.
« Quand la mer… est amené avec fantaisie et justesse
par le texte et les comédiens. Le choeur des commères
apporte par ailleurs sa dose de douce folie.»
Valérie Cloutier, Radio-Canada, 18 septembre 2013
Crédits : Eloi Archam Baudoin • Photo : Nicola-Frank Vachon
La lente et insidieuse destruction
de l’environnement, d’un mode de vie, d’une culture.
La lente et insidieuse destruction
de l’environnement, d’un mode de vie, d’une culture.
L’idée de ce spectacle a germé vers 2004. Aujourd’hui, neuf ans plus tard, j’avoue ne plus avoir beaucoup de mots à ajouter.
Ce sont les images d’un reportage sur l’assèchement de la mer d’Aral qui m’ont inspirée Quand la mer… Des images poignantes de bateaux échoués en plein désert. La lente et insidieuse destruction de l’environnement, d’un mode de vie, d’une culture.
J’ai vu, dans ces images, l’allégorie d’un drame humain, malheureusement universel. L’histoire est née lentement, à la manière et au rythme des stalagmites : une couche s’ajoutant lentement aux autres, jusqu’à révéler le dessin.
De fidèles complices m’ont généreusement aidée à préciser ce dessin, et ont patiemment attendu que se forme une image plus nette. Des artistes extraordinaires, qui ont magnifié ce monde et ses habitants. D’incroyables rencontres sur le chemin solitaire de l’écriture. De franches et vitales amitiés.
Ce soir, mes mots seront portés par d’autres. J’en suis émue et immensément reconnaissante. J’espère de tout cœur qu’ils sauront vous toucher.
Esther Beauchemin
Auteure
De fidèles complices m’ont généreusement aidée à préciser ce dessin, et ont patiemment attendu que se forme une image plus nette. Des artistes extraordinaires, qui ont magnifié ce monde et ses habitants. D’incroyables rencontres sur le chemin solitaire de l’écriture. De franches et vitales amitiés.
Ce soir, mes mots seront portés par d’autres. J’en suis émue et immensément reconnaissante. J’espère de tout cœur qu’ils sauront vous toucher.
Esther Beauchemin
Auteure
Photo : Nicola-Frank Vachon
Rien n’échappe à la transformation
Écrire, au théâtre, c’est décider d’aller au bout de quelque chose : une question, une fascination, une colère, une indignation… Quitte à y consacrer – quand on a une démarche digne de ce nom- plusieurs années de sa vie. J’ai eu l’immense privilège d’accompagner Esther Beauchemin tout au long de son parcours d’écriture. Je peux témoigner : elle a relevé ici un défi immense car elle s’est attaquée à un sujet tout aussi immense. Formidable travail. Formidable amie, Esther!
Crédits : Annick Léger • Photo: Nicola-Frank Vachon
Quand la mer… est triste, belle et drôle. Triste parce qu’elle inflige à ses personnages leur lot d’arrachements et de blessures; belle parce que malgré la douleur, ils survivent; et drôle parce qu’à travers leurs combats -grands et petits- les personnages nous apparaissent dans toute leur humaine imperfection. Triste, belle et drôle : comme la vie.
Quand la mer… nous rappelle enfin que rien n’échappe à la transformation. Pas même notre langue et notre culture. On aura beau résister, refuser, combattre, les changements surviennent et surviendront. Mais voilà : la beauté de ces résistances et des bouleversements qui les ont forgées. Elles sont notre histoire… en écriture constante.
Je salue et remercie tous ceux – et ils sont nombreux – qui se sont joints à ce long périple avec Esther.
Philippe Soldevila
Metteur en scène
Quand la mer… est triste, belle et drôle. Triste parce qu’elle inflige à ses personnages leur lot d’arrachements et de blessures; belle parce que malgré la douleur, ils survivent; et drôle parce qu’à travers leurs combats -grands et petits- les personnages nous apparaissent dans toute leur humaine imperfection. Triste, belle et drôle : comme la vie.
Quand la mer… nous rappelle enfin que rien n’échappe à la transformation. Pas même notre langue et notre culture. On aura beau résister, refuser, combattre, les changements surviennent et surviendront. Mais voilà : la beauté de ces résistances et des bouleversements qui les ont forgées. Elles sont notre histoire… en écriture constante.
Je salue et remercie tous ceux – et ils sont nombreux – qui se sont joints à ce long périple avec Esther.
Philippe Soldevila
Metteur en scène
Un chant intemporel
Quand la mer… offre une marée montante gorgée de sens
«Si certains tableaux sont plus illustratifs, on doit saluer celui où la sœur du chef des Anciens réclame son autonomie, et ce très désarmant moment où l’étrangère craint de perdre sa fille. Le texte s’ouvre sur une symbolique riche qui force l’être à faire face à l’ultime dépossession, deux moments soutenus avec juste ce qu’il faut de tension et de nuances dans l’interprétation et qui laissent leur empreinte. »
équipe de création
Auteure et idée originale
Esther Beauchemin
Appui dramaturgique
Philippe Soldevila
Mise en scène
Philippe Soldevila
Assisté de Mélanie Primeau
Conseillère artistique
Geneviève Pineault
Auteure et idée originale
Esther Beauchemin
Appui dramaturgique
Philippe Soldevila
Mise en scène
Philippe Soldevila
Assisté de Mélanie Primeau
Conseillère artistique
Geneviève Pineault
DISTRIBUTION
Eloi Archam Baudoin
Roch Castonguay
Céleste Dubé
Valérie Laroche
Annick Léger
Sylvain Perron
Direction artistique
Esther Beauchemin
Geneviève Pineault
Philippe Soldevila
DISTRIBUTION
Eloi Archam Baudoin
Roch Castonguay
Céleste Dubé
Valérie Laroche
Annick Léger
Sylvain Perron
Direction artistique
Esther Beauchemin
Geneviève Pineault
Philippe Soldevila
Décor et accessoires
Christian Fontaine
Environnement sonore
Pascal Robitaille
Costumes et accessoires
Marianne Thériault
Éclairages
Guillaume Hoüet
Coproducteurs
Théâtre Sortie de Secours
Théâtre de La Vieille 17
Le Théâtre du Nouvel-Ontario
Décor et accessoires
Christian Fontaine
Environnement sonore
Pascal Robitaille
Costumes et accessoires
Marianne Thériault
Éclairages
Guillaume Hoüet
Coproducteurs
Théâtre Sortie de Secours
Théâtre de La Vieille 17
Le Théâtre du Nouvel-Ontario
Quand la mer… : complainte douce-amère
Parfois, il faut partir pour céder sa place; d’autres fois, il faut partir pour la trouver.
«Le jeu des comédiens y est pour beaucoup. Annick Léger, en particulier, est magistrale dans l’interprétation d’une soeur qui a sacrifié sa vie pour les manques de son frère, et aspire maintenant à un destin qui lui appartient en propre, puis dans l’interprétation d’une mère avec quelques limites de compréhension, mais un coeur grand comme le monde. Une magnifique comédienne.»
Quand la mer…
complainte douce-amère
Parfois, il faut partir pour céder sa place; d’autres fois, il faut partir pour la trouver.
«Le jeu des comédiens y est pour beaucoup. Annick Léger, en particulier, est magistrale dans l’interprétation d’une soeur qui a sacrifié sa vie pour les manques de son frère, et aspire maintenant à un destin qui lui appartient en propre, puis dans l’interprétation d’une mère avec quelques limites de compréhension, mais un coeur grand comme le monde. Une magnifique comédienne.»
Devenons-nous quelqu’un d’autre lorsque
nous quittons le coin de pays qui est le nôtre?
Quand la mer… suscite chez le spectateur
d’intéressants questionnements.
Les drames humains sont au cœur de ce spectacle. Qu’ils soient provoqués par le retrait de la mer ou qu’ils proviennent des oppositions bien naturelles entre les protagonistes, le drame est toujours présent. Esther Beauchemin, l’auteur, s’intéresse bien plus aux drames personnels qu’au drame écologique. Et c’est tant mieux.
Les Enfants du paradis, Radio CKRL, 25 septembre 2013
Quand la Mer theme of lost culture rings true for many ethnic groups
«The most emotional part of this story is not as an actor, but as an individual to see what (playwright Beauchemin) has touched on. The theme of loss of culture remains true for many ethnic groups particularly the aboriginal and francophone communities that have fought very hard for everything they have to a certain extent.»
Interview with Sudbury native Celeste Dube.
>Laura Stradiotto, The Sudbury Star, 17 octobre 2013