Conte du soleil – 2018
Une production du Théâtre des Confettis
Rencontre entre deux cultures
Conte du Soleil est le dernier volet d’une trilogie écrite par Philippe Soldevila portant sur l’émigration. En nous faisant voyager de l’Espagne au Québec, de 1917 à 2017, il explore les questions identitaires, la fascinante rencontre entre deux cultures et les importants défis qui en découlent.
Accessible dès 8 ans, cette nouvelle création du Théâtre des Confettis, produite en collaboration avec le Théâtre Sortie de Secours.
Rencontre entre deux cultures
Conte du Soleil est le dernier volet d’une trilogie écrite par Philippe Soldevila portant sur l’émigration. En nous faisant voyager de l’Espagne au Québec, de 1917 à 2017, il explore les questions identitaires, la fascinante rencontre entre deux cultures et les importants défis qui en découlent.
Accessible dès 8 ans, cette nouvelle création du Théâtre des Confettis, produite en collaboration avec le Théâtre Sortie de Secours.
L’histoire du Conte du soleil
Étienne, 10 ans, et Octavio, son père, vivent d’importants bouleversements qui les conduisent à s’isoler dans leur monde. Alors que le plus jeune préfère ses écrans, le plus âgé se réfugie dans son travail. C’est l’arrière- grand-mère espagnole d’Étienne qui détient sans doute la solution. En l’invitant à la suivre dans sa propre enfance, au pays du Soleil, elle parviendra peut-être à réunir ces deux solitudes et à forcer la rencontre entre leurs mondes respectifs.
Trilogie d’une émigration
Pour un enfant,
venir au monde c’est un peu comme
monter à bord d’un train en marche.
Un train fait de wagon déjà remplis d’espoirs,
parfois réalisés, parfois brisés.
Le train familial du jeune Étienne vient de dérailler.
Et même s’il n’a jamais conduit la locomotive,
au lieu de panser ses propres blessures,
il se sent responsable de celles de son père.
Étienne n’a que dix ans.
Dans les circonstances, il fait de son mieux.
Au train, il accroche une nouvelle voiture :
il plonge avec fougue dans son monde virtuel,
composé d’écrans et de claviers d’ordinateurs.
Pour le père du jeune Étienne,
issu d’une famille où les mots sont rois,
Pour un enfant,
venir au monde c’est un peu comme
monter à bord d’un train en marche.
Un train fait de wagon déjà remplis d’espoirs,
parfois réalisés, parfois brisés.
Le train familial du jeune Étienne vient de dérailler.
Et même s’il n’a jamais conduit la locomotive,
au lieu de panser ses propres blessures,
il se sent responsable de celles de son père.
Étienne n’a que dix ans.
Dans les circonstances, il fait de son mieux.
Au train, il accroche une nouvelle voiture :
il plonge avec fougue dans son monde virtuel,
composé d’écrans et de claviers d’ordinateurs.
Pour le père du jeune Étienne,
issu d’une famille où les mots sont rois,
ce nouveau wagon est pur poison :
«Les écrans ne sont qu’isolement et fuite!
L’imagination y est assassinée!»
Ce qu’Étienne est sur le point de réaliser,
c’est qu’il est né au cœur d’une grande histoire qui le précède.
Celle d’une émigration.
Mais… est-il tenu d’en poursuivre la trame?
Choisira-t-il de la rejeter, ou de l’attraper au vol et la faire sienne?
Chose certaine :
pour construire sa propre histoire,
Étienne devra prendre conscience d’un passé
qui l’a mené exactement là où il est.
Philippe Soldevila
Auteur et metteur en scène
ce nouveau wagon est pur poison :
«Les écrans ne sont qu’isolement et fuite!
L’imagination y est assassinée!»
Ce qu’Étienne est sur le point de réaliser,
c’est qu’il est né au cœur d’une grande histoire qui le précède.
Celle d’une émigration.
Mais… est-il tenu d’en poursuivre la trame?
Choisira-t-il de la rejeter, ou de l’attraper au vol et la faire sienne?
Chose certaine :
pour construire sa propre histoire,
Étienne devra prendre conscience d’un passé
qui l’a mené exactement là où il est.
Philippe Soldevila
Auteur et metteur en scène
Philippe Soldevila conclut brillamment sa trilogie sur l’émigration
Après Conte de la lune, créé il y a plus de 10 ans déjà, et Conte de la neige, Philippe Soldevila conclut brillamment sa trilogie sur l’émigration, l’identité et la résilience avec Conte du Soleil, une pièce tout aussi drôle que touchante qui réunit quatre générations sur une même scène de théâtre et… de la vie.
Philippe Soldevila conclut brillamment sa trilogie sur l’émigration
Après Conte de la lune, créé il y a plus de 10 ans déjà, et Conte de la neige, Philippe Soldevila conclut brillamment sa trilogie sur l’émigration, l’identité et la résilience avec Conte du Soleil, une pièce tout aussi drôle que touchante qui réunit quatre générations sur une même scène de théâtre et… de la vie.
Crédits : Vincent Legault, Agnès Zacharie • Photo : Louise Leblanc
Conte du soleil : de rêve et de colère
«Pour clore sa trilogie sur l’émigration, après Conte de la lune et Conte de la neige, Philippe Soldevila réussit à aborder la résilience, la détresse et l’impuissance dans un texte pourtant comique et dynamique, qui maintient notre intérêt. Le jeu des comédiens Hugues Frenette et Vincent Legault y est pour beaucoup. Ils ont su trouver les intonations et les mimiques qui font rire, tout en sonnant vraiment comme des interactions entre un parent et son pré ado. Lorsque Étienne fige le temps ou met son père au ralenti, l’effet est des plus réussis.»
«Pour clore sa trilogie sur l’émigration, après Conte de la lune et Conte de la neige, Philippe Soldevila réussit à aborder la résilience, la détresse et l’impuissance dans un texte pourtant comique et dynamique, qui maintient notre intérêt. Le jeu des comédiens Hugues Frenette et Vincent Legault y est pour beaucoup. Ils ont su trouver les intonations et les mimiques qui font rire, tout en sonnant vraiment comme des interactions entre un parent et son pré ado. Lorsque Étienne fige le temps ou met son père au ralenti, l’effet est des plus réussis.»
Les choses étaient-elles si différentes il y a 100 ans?
Avec ce spectacle, l’auteur et metteur en scène Philippe Soldevila aborde avec beaucoup de sensibilité le thème de la séparation et ses écueils. (…) Hugues Frenette incarne avec tendresse un père sensible et tourmenté, Vincent Legault est très touchant dans ce rôle d’enfant trop responsable et Agnès Zacharie interprète avec beaucoup de poésie l’arrière-grand-mère catalane.
Les choses étaient-elles si différentes
il y a 100 ans?
Avec ce spectacle, l’auteur et metteur en scène Philippe Soldevila aborde avec beaucoup de sensibilité le thème de la séparation et ses écueils. (…) Hugues Frenette incarne avec tendresse un père sensible et tourmenté, Vincent Legault est très touchant dans ce rôle d’enfant trop responsable et Agnès Zacharie interprète avec beaucoup de poésie l’arrière-grand-mère catalane.
équipe de création
Texte et mise en scène
Philippe Soldevila
Direction artistique
Hélène Blanchard
Judith Savard
DISTRIBUTION
Hugues Frenette ou Emmanuel Bédard
Vincent Legault
Agnès Zacharie
Scénographie
Luc Rondeau
Erica Schmitz
Texte et mise en scène
Philippe Soldevila
Direction artistique
Hélène Blanchard
Judith Savard
DISTRIBUTION
Hugues Frenette ou Emmanuel Bédard
Vincent Legault
Agnès Zacharie
Scénographie
Luc Rondeau
Erica Schmitz
Costumes et accessoires et vidéo
Erica Schmitz
Musique originale et environnement sonore
Jean-François Mallet
Éclairages
Christian Fontaine
Régie
Nadia Bélanger ou Valérie Côté
PRODUCTEUR
Théâtre des Confettis en collaboration
avec le Théâtre Sortie de Secours
Costumes et accessoires et vidéo
Erica Schmitz
Musique originale et environnement sonore
Jean-François Mallet
Éclairages
Christian Fontaine
Régie
Nadia Bélanger ou Valérie Côté
PRODUCTEUR
Théâtre des Confettis en collaboration
avec le Théâtre Sortie de Secours
Crédits : Hugue Frenette • Photo : Louise Leblanc
Véritable mise en abyme du travail du créateur
Véritable mise en abyme du travail du créateur
L’écriture fluide de Soldevila nous fait entrer facilement dans l’histoire qui pose un regard sur les doutes, la fragilité qui ponctuent le travail de l’artiste tout comme celle de l’humain, ce père monoparental qui s’efforce de tisser des liens.
L’écriture fluide de Soldevila nous fait entrer facilement dans l’histoire qui pose un regard sur les doutes, la fragilité qui ponctuent le travail de l’artiste tout comme celle de l’humain, ce père monoparental qui s’efforce de tisser des liens.